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Sainte-Anne-des-Chênes, Manitoba

Février 2021

L’amour pour ma province

En cherchant l’inspiration pour cet édito de février, le mois de l’amour, j’ai revisité les sujets des févriers précédents. En 2018, il était question du cœur et de ses maladies, l’année suivante, de l’amour de la vie et de la santé mentale nécessaire pour survivre à la vie, justement, et l’an dernier, de l’amour de la famille. Quand je regarde la direction qu’a prise Le Nénuphar ces dernières années, c’est un amour flagrant pour le Manitoba, son peuple et sa culture qui en ressort.

Lorsque l’on tente de faire connaître notre province et ses gens, qu’il s’agisse des premiers habitants aux derniers arrivants, on se rend vite compte qu’il y a bien plus qu’une seule culture. « Rien qu’à voir, on voit bien » selon l’expression canadienne française, que, de par son ouverture aux immigrants, le Manitoba s’enrichit sans cesse. 

Le Nénuphar est un endroit par excellence pour connaître ces différentes cultures. On y trouve des légendes anishinaabe dans Raconte-moi Terre-Mère et des vêtements créés selon l’héritage métis et autochtone dans Le chic d’ici; on accompagne les voyageurs dans leurs multiples périples dans La vie des voyageurs, Sur les traces des voyageurs et TiBert le voyageur; on fait la connaissance d’immigrants en provenance d’une douzaine de pays dans Notre nouveau chez-nous! et on découvre la culture maghrébine dans Du Maghreb au Manitoba. Et n’oublions pas aussi, au passage, que vous pouvez aller admirer les œuvres d’artistes métis, entre autres, dans La toile de toiles et Art écolo.

Bonne Saint-Valentin
et bon Festival du voyageur! Hé Ho!

Vos idées et commentaires sont les bienvenus pour faire de ce magazine un endroit agréable à consulter. Ne vous gênez surtout pas d’écrire à :

editeur@magazinelenenuphar.com

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